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Chaque année, le monde automobile se renouvelle avec une vague de nouveaux modèles, d’innovations techniques et de concepts transformés en réalité. En 2025, les constructeurs automobiles redoublent d’efforts pour séduire un public exigeant, conscient des enjeux écologiques et passionné de technologie. Voici le top 10 des voitures les plus attendues en France pour la saison 2025, alliant design, performance et modernité.


1. Renault Scenic E-Tech 100% électrique

Renault revisite un grand classique : le Scenic renaît sous une forme entièrement électrique. Plus spacieux, au design audacieux, il se positionne entre le SUV familial et le crossover urbain. Doté d’une autonomie annoncée de plus de 600 km, il promet d’être un des véhicules électriques les plus pratiques pour les familles françaises. L’intérieur met l’accent sur la durabilité, avec des matériaux recyclés et une interface Google intégrée.


2. Peugeot 3008 nouvelle génération

Symbole du succès français, le Peugeot 3008 revient dans une version repensée. Il adopte une nouvelle plateforme électrique (STLA Medium), tout en conservant des versions hybrides pour faciliter la transition. Son habitacle se distingue par un i-Cockpit 100% numérique, un confort de conduite optimisé et une allure sportive qui rivalise avec les modèles allemands. Ce SUV est sans doute l’un des lancements les plus stratégiques de l’année pour Peugeot.


3. Tesla Model 2

Attendue depuis plusieurs années, la Model 2 sera la première Tesla « compacte », plus abordable, et pensée pour le marché européen. L’objectif du constructeur américain est clair : démocratiser l’électrique à grande échelle. Son prix devrait se situer sous la barre des 30 000 €, avec une autonomie supérieure à 400 km. Son arrivée pourrait bouleverser la concurrence sur le segment des citadines électriques.


4. Citroën C3 Aircross 2025

Citroën continue sa montée en puissance dans le segment des SUV compacts. Le nouveau C3 Aircross gagne en caractère, en confort et en technologies embarquées. Il sera disponible en versions thermique, hybride légère et 100% électrique. L’accent est mis sur le confort, fidèle à l’ADN de la marque, avec un amortissement souple et une isolation acoustique renforcée.


5. Volkswagen ID.7

Volkswagen mise sur l’élégance et la technologie avec sa nouvelle berline électrique ID.7. Positionnée comme une alternative haut de gamme aux Tesla Model 3 et BMW i4, elle propose une autonomie proche de 700 km. L’intérieur, minimaliste et raffiné, est dominé par un grand écran central et un système de climatisation intelligent. C’est une voiture pensée pour les longs trajets et le confort premium.


6. BMW i5

La nouvelle BMW i5 combine le luxe typique de la marque et la puissance d’un moteur électrique de dernière génération. Basée sur la série 5, elle promet une conduite fluide, silencieuse et dynamique. Les conducteurs français amateurs de performance y trouveront un équilibre parfait entre sportivité, autonomie et sophistication.

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L’année 2025 marque une étape importante dans la fiscalité automobile de la France. Afin d’accélérer la transition écologique et de dissuader l’achat de véhicules fortement polluants, l’État français renforce les mécanismes de taxation — en particulier les dispositifs malus automobile (liés aux émissions de CO₂) et les sanctions liées au poids des véhicules. Ces changements affecteront tant les particuliers que les entreprises, avec des impacts notables sur les flottes et l’usage des voitures de société.


1. Renforcement du malus CO₂ dès le 1ᵉʳ mars 2025

À partir du 1ᵉʳ mars 2025, une nouvelle grille de malus CO₂ s’applique aux véhicules immatriculés. Ce malus est une taxe payable lors de l’enregistrement d’une voiture neuve, qui pèse plus lourd pour les véhicules émettant un taux élevé de CO₂.

Principales modifications :

  • Le seuil minimal pour déclencher le malus est abaissé : désormais, les voitures émettant plus de 113 g/km de CO₂ seront soumises à cette taxe (au lieu d’un seuil plus élevé antérieur).

  • Le montant maximal du malus est porté à 70 000 €, pour les véhicules émettant au-delà de 192–193 g/km de CO₂.

  • La taxe au poids (le malus lié au poids du véhicule) sera renforcée, et son seuil d’application évoluera.

  • L’ensemble du malus (CO₂ + poids) est plafonné à ce même montant maximal de 70 000 € : si le malus CO₂ atteint 70 000 €, le malus poids ne s’ajoute pas au-delà.

Autrement dit, les véhicules les plus polluants verront un coût fiscal très élevé, ce qui accroît la pression vers des choix plus écologiques.


2. Fin d’exonération pour certains hybrides

Une autre évolution majeure concerne les véhicules hybrides. Jusqu’à présent, plusieurs modèles hybrides bénéficiaient d’exonérations ou d’abattements sur le malus poids ou CO₂, particulièrement s’ils pouvaient circuler en mode électrique sur une certaine distance.
Mais dès 2025, beaucoup de ces avantages seront supprimés ou réduits. Les hybrides rechargeables qui ne parviennent pas à dépasser un seuil minimal d’autonomie en mode électrique pourront être soumis au malus poids.

Cette mesure incite donc à choisir des modèles plus « propres » en émission ou dotés d’une capacité électrique sérieuse.


3. Taxation des voitures de société et avantages en nature

Pour les entreprises et les salariés utilisant un véhicule de société, les règles fiscales évoluent également. À compter du 1ᵉʳ février 2025, l’évaluation de l’avantage en nature sur ces voitures est révisée.

Nouveautés :

  • Pour les voitures achetées neuves (ou de moins de 5 ans), l’avantage sera valorisé à 15 % du prix d’acquisition, contre un taux plus faible auparavant.

  • Pour les véhicules de plus de cinq ans, le taux sera fixé à 10 %.

  • Pour les voitures louées (leasing / location avec option d’achat), l’avantage en nature sera calculé à 50 % des coûts annuels totaux (loyer, entretien, assurance), voire 67 % si le carburant est pris en charge par l’employeur.

  • Pour les véhicules 100 % électriques, une réduction de 70 % sera appliquée à l’avantage en nature, jusqu’à un plafond annuel (4 582 €).

Ces changements augmentent le coût fiscal des voitures de société, encourageant les entreprises à opter pour des modèles plus propres.


4. Progressivité et contraintes pour les flottes professionnelles

Les entreprises possédant des flottes de véhicules vont ressentir directement les effets de ces modifications. Les voitures de forte puissance, lourdes ou fortement polluantes seront soumises à des taxes proportionnellement élevées.
À cela s’ajoute la future montée progressive du malus CO₂ jusqu’en 2027 : la fiscalité sur les émissions sera renforcée sur plusieurs années pour pousser à la transition écologique.

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Le marché automobile français a toujours été un reflet fascinant des goûts, des habitudes et des priorités des conducteurs. Entre fierté nationale, innovations technologiques et ouverture à la concurrence étrangère, la France possède un paysage automobile particulièrement riche et dynamique. En 2025, certaines marques continuent de dominer les ventes, tandis que d’autres gagnent rapidement en popularité grâce à l’électrification et à la diversification de leurs gammes.


1. Renault : la force de la tradition et de la modernité

Renault reste l’un des piliers du marché automobile français. Historiquement liée à la mobilité nationale, la marque combine aujourd’hui tradition, fiabilité et innovation.

En 2025, Renault consolide sa position grâce à une large gamme de modèles, allant de la citadine Clio, toujours parmi les voitures les plus vendues en France, au SUV Captur, symbole du confort moderne et de la polyvalence.

Mais le véritable atout de Renault réside désormais dans sa transition vers l’électrique. Les modèles Megane E-Tech Electric et Renault 5 E-Tech Electric séduisent un public jeune et urbain, soucieux d’allier design, technologie et respect de l’environnement. La marque réussit ainsi à rester accessible tout en incarnant l’avenir de la mobilité.


2. Peugeot : l’élégance française et la performance maîtrisée

Autre fleuron national, Peugeot s’impose comme un acteur incontournable grâce à la qualité de ses finitions, à son design raffiné et à ses performances équilibrées.

Le constructeur du lion a su se réinventer en proposant une gamme cohérente, combinant moteurs thermiques efficaces, hybrides rechargeables et versions 100 % électriques. La Peugeot 208 reste l’une des voitures les plus vendues en France, tandis que les SUV 3008 et 5008 continuent de séduire les familles.

En parallèle, Peugeot investit dans les véhicules électriques avec la e-208 et la e-3008, deux modèles qui témoignent de l’ambition du groupe Stellantis de devenir un leader européen de la mobilité durable.


3. Citroën : confort, audace et accessibilité

Citroën conserve une place unique dans le cœur des automobilistes français. Connue pour son confort de conduite légendaire, la marque met l’accent sur l’expérience de voyage, la simplicité et le design différent.

Le Citroën C3, la compacte la plus vendue de la marque, reste un best-seller, tandis que le C5 Aircross continue d’évoluer avec des versions hybrides et électriques. Citroën séduit aussi grâce à sa philosophie « accessible à tous », en proposant des véhicules au rapport qualité-prix particulièrement compétitif.

Le lancement du Citroën ë-C3, produit en Europe, symbolise parfaitement cette volonté : offrir une voiture électrique abordable, sans compromis sur le confort ou le style.


4. Dacia : la simplicité qui conquiert le marché

Marque d’origine roumaine appartenant au groupe Renault, Dacia a réussi un véritable tour de force sur le marché français. Son succès repose sur une formule simple : proposer des voitures fiables, robustes et économiques.

En 2025, la Dacia Sandero et le Duster figurent toujours parmi les modèles les plus immatriculés en France. Ces véhicules séduisent un large public, des jeunes conducteurs aux familles à la recherche d’un SUV pratique et abordable.

Dacia n’est plus seulement synonyme de “voiture pas chère” : la marque a su moderniser son image, avec des designs plus élégants et une technologie embarquée de plus en plus complète. L’arrivée de la Dacia Spring, petite citadine 100 % électrique, renforce encore son attractivité sur le segment des véhicules urbains.

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La France s’impose aujourd’hui comme l’un des pays européens les plus ambitieux en matière de transition vers la mobilité électrique. Le gouvernement, les collectivités locales et les constructeurs automobiles multiplient les efforts pour rendre la voiture électrique accessible, pratique et fiable. Au cœur de cette transformation se trouve un enjeu essentiel : le déploiement massif des bornes de recharge sur tout le territoire.


1. Un objectif clair : accélérer la transition énergétique

Les autorités françaises se sont fixé un cap précis : réduire drastiquement les émissions de CO₂ liées au transport d’ici 2035. Pour y parvenir, le développement des véhicules électriques est une priorité nationale. Cependant, pour convaincre les automobilistes de franchir le pas, la France doit garantir un réseau de recharge dense, rapide et facile d’accès.

Actuellement, le pays compte déjà plusieurs centaines de milliers de points de recharge publics et privés. Mais cela reste insuffisant face à la croissance rapide du parc électrique. Les projections gouvernementales visent plus de 400 000 bornes publiques d’ici 2030, réparties sur tout le territoire, y compris les zones rurales.


2. Des investissements massifs pour un maillage complet

L’État français et ses partenaires économiques ont lancé de vastes programmes d’investissement pour développer les infrastructures de recharge. Le plan « France Mobilité Électrique » prévoit plusieurs milliards d’euros pour soutenir les collectivités, les entreprises et les particuliers souhaitant installer des bornes.

Les grandes autoroutes sont au cœur de cette stratégie : chaque aire de repos doit proposer plusieurs points de charge rapide, capables de recharger une batterie à 80 % en moins de trente minutes. Parallèlement, les zones urbaines densément peuplées bénéficient de réseaux intelligents, intégrés aux parkings publics, aux centres commerciaux et aux logements collectifs.

Le développement du réseau haute puissance (HPC) est également prioritaire. Ces bornes ultrarapides, capables de délivrer jusqu’à 350 kW, permettront de réduire les temps d’attente, rendant les longs trajets en voiture électrique plus confortables et plus sûrs.


3. Les acteurs privés : un moteur essentiel de la croissance

Les entreprises du secteur privé jouent un rôle majeur dans cette transition. Les grands groupes énergétiques français, mais aussi de nouveaux acteurs spécialisés, investissent massivement dans la création de réseaux de recharge.

Les concessionnaires automobiles intègrent désormais des solutions de recharge à domicile dans leurs offres, tandis que les fabricants de bornes innovent pour rendre les installations plus simples, moins coûteuses et plus compatibles avec différents types de véhicules.

De plus, les supermarchés, les hôtels et les restaurants adoptent de plus en plus souvent des bornes de recharge pour attirer une clientèle nouvelle, soucieuse de recharger tout en profitant de services sur place.


4. Des solutions adaptées à tous les usages

La France ne se contente pas de multiplier les bornes : elle cherche à diversifier les types de recharge selon les besoins.

  • Recharge lente : idéale pour la nuit ou les parkings de longue durée, elle convient parfaitement aux particuliers et aux flottes d’entreprises.

  • Recharge accélérée : déployée dans les parkings publics ou les zones d’activité, elle permet de récupérer plusieurs dizaines de kilomètres d’autonomie en une heure.

  • Recharge rapide et ultrarapide : essentielle pour les longs trajets, elle se généralise sur les autoroutes et les grands axes interrégionaux.

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L’année 2025 s’annonce comme un tournant majeur pour l’industrie automobile, particulièrement en France. Les constructeurs misent fortement sur l’électrification, les technologies hybrides, et la réinvention des classiques, tout en répondant aux nouvelles attentes des consommateurs en matière d’écologie, de connectivité et de confort. Voici un panorama des nouveautés les plus attendues et des tendances qui redéfiniront le paysage automobile.


1. Électrique et zéro émission : le grand bond en avant

L’une des priorités des marques françaises est l’élargissement de leur gamme de véhicules 100 % électriques. On attend des modèles comme la Renault 4 E-Tech Electric, un crossover électrique qui revisite un nom emblématique du passé, mais avec une vision tournée vers la modernité. Ce modèle combine design compact, autonomie raisonnable et technologies de pointe — une proposition séduisante pour les urbains mais aussi pour les amateurs de retraites à la campagne.

Autre nouveauté : l’Alpine A390, un SUV sportif électrique produit sur la plateforme AmpR, qui offrira plusieurs configurations de motorisation — de l’essieu avant à la transmission intégrale. Il se positionne comme un véhicule premium, alliant performance, plaisir de conduite et respect des normes environnementales.


2. Hybridation généralisée : un pont vers l’électrique

Si certains modèles seront purement électriques, d’autres adoptent une stratégie intermédiaire avec les motorisations hybrides (hybrides légères, hybrides rechargeables). Le Citroën C5 Aircross II par exemple sera disponible en version hybride, hybride rechargeable et électrique, mais abandonne complètement les moteurs thermiques non électrifiés. Cela montre la volonté des constructeurs de proposer des transitions douces.

De même, chez plusieurs marques allemandes et françaises, les nouveautés essence ou diesel classiques seront désormais conditionnées à une hybridation légère ou partielle, afin de répondre aux normes de CO₂ toujours plus strictes.


3. Design rétro revisité et noms historiques remis au goût du jour

Une tendance notable est le retour en force de modèles iconiques, remis au goût du jour avec une motorisation électrique ou hybride. Renault, par exemple, remet dans la lumière la Renault R4, sous forme électrique, ressuscitant une légende populaire avec un design contemporain. De même, la Renault 5 E-Tech Electric poursuit dans cette veine, offrant une citadine électrique moderne tout en capitalisant sur une nostalgie esthétique et culturelle.

Ces retours de modèles historiques ne sont pas uniquement cosmétique : ils sont porteurs de valeurs d’authenticité, de simplicité et de proximité, facteurs importants pour les consommateurs français attachés à l’histoire automobile.


4. SUVs et volumes : confort, espace et polyvalence

Le SUV reste une catégorie stratégique. En 2025, plusieurs modèles très attendus occupent ce segment. Le Skoda Elroq, un SUV électrique du segment C, devrait offrir une autonomie élevée (autour de 370 à 580 km selon la version), avec un prix cible accessible pour ce type de véhicule.

Smart élargit aussi son catalogue électrique avec le Smart #5, un grand SUV familial 100 % électrique. La marque vise un intérieur à la fois technologique et confortable, doté d’équipements modernes, pour séduire un public exigeant.

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