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Conseils aux automobilistes

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Les freins sont l’un des éléments les plus essentiels de la sécurité d’un véhicule. Pourtant, beaucoup d’automobilistes attendent trop longtemps avant de changer leurs plaquettes de frein, souvent par négligence ou par manque d’informations. Or, des plaquettes usées peuvent allonger considérablement la distance de freinage, réduire le contrôle du véhicule et provoquer des dommages sur les disques. Pour éviter les risques, il est crucial de savoir reconnaître les signes d’usure. Voici les 7 indicateurs principaux qui montrent qu’il est temps de remplacer vos plaquettes de frein, selon les standards et les conditions de conduite en France.


1. Un bruit de grincement ou de sifflement à chaque freinage

C’est le signe le plus évident et le plus fréquent.
Lorsque vous appuyez sur la pédale et que vous entendez un grincement métallique, cela indique que les plaquettes sont fortement usées.
En effet, la plupart des modèles modernes sont équipés d’un témoins sonore d’usure : une petite pièce métallique intégrée dans la plaquette émet un sifflement dès que la garniture de frein devient trop fine.

Ce son ne doit jamais être ignoré. Il sert précisément à prévenir le conducteur avant que les disques ne soient endommagés. Si le bruit devient plus fort ou constant, il est déjà trop tard — les plaquettes sont probablement à nu et risquent d’endommager d’autres éléments du système de freinage.


2. Une pédale de frein plus molle ou qui s’enfonce plus bas

Lorsque vous appuyez sur la pédale et qu’elle semble plus souple que d’habitude, c’est souvent un signe d’usure avancée des plaquettes ou de présence d’air dans le liquide de frein.
Les plaquettes fines dissipent moins bien la pression hydraulique, ce qui provoque une sensation de pédale “flottante”.

Dans ce cas, il est fortement recommandé de faire contrôler non seulement les plaquettes, mais aussi l’état du liquide de frein et des durites. Une pédale molle peut être le symptôme d’un système de freinage globalement fatigué.


3. Des vibrations dans la pédale ou le volant lors du freinage

Si vous ressentez des vibrations ou des secousses lorsque vous freinez, cela peut venir d’une usure inégale des plaquettes ou d’un disque de frein voilé.
Ce phénomène est fréquent lorsque les plaquettes ne s’appliquent plus uniformément sur le disque à cause de la chaleur ou de la saleté.

Outre l’inconfort, ces vibrations réduisent l’efficacité du freinage et peuvent provoquer des défaillances plus graves si elles ne sont pas traitées rapidement.
Un contrôle dans un atelier spécialisé est alors indispensable pour mesurer l’épaisseur exacte des plaquettes et l’état de surface des disques.


4. Une distance de freinage plus longue

L’un des signes les plus dangereux est une réduction notable de la puissance de freinage.
Si votre véhicule met plus de temps à s’arrêter qu’avant, même à vitesse modérée, c’est probablement dû à des plaquettes trop usées ou à un mauvais contact avec les disques.

Ce symptôme ne doit jamais être sous-estimé, surtout sur autoroute ou en montagne, où la capacité de freinage peut sauver des vies.
Dans certains cas, le problème peut aussi venir de la surchauffe des plaquettes, notamment après de longues descentes où le frein est sollicité en continu.

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Un accident de la route est toujours un moment stressant, mais lorsqu’il survient à l’étranger, la situation peut devenir encore plus complexe. Entre la barrière de la langue, les règles locales et les démarches administratives, il est essentiel de savoir comment réagir avec calme et méthode. Voici un guide complet pour savoir quoi faire étape par étape en cas d’accident à l’étranger, que vous voyagiez depuis la France en voiture personnelle, en location ou en covoiturage.


1. Garder son calme et sécuriser les lieux

La première règle, universelle, est d’assurer la sécurité de tous.
Coupez le moteur, allumez les feux de détresse et placez le triangle de signalisation à une distance suffisante pour prévenir les autres conducteurs.
Portez votre gilet de sécurité avant de sortir du véhicule.

S’il y a des blessés, ne tentez pas de les déplacer, sauf en cas de danger imminent (incendie, risque d’explosion). Dans tous les cas, restez calme : un comportement posé aide à mieux gérer la situation et à éviter des erreurs sous le coup de la panique.


2. Prévenir les secours

Appelez immédiatement les services d’urgence du pays où vous vous trouvez.
Dans toute l’Union européenne, le numéro d’urgence unique 112 permet de contacter la police, les pompiers ou les ambulances.
Expliquez le lieu exact de l’accident, le nombre de personnes impliquées et la gravité des blessures éventuelles.

Si vous avez du mal à communiquer dans la langue locale, parlez lentement en anglais ou en français : dans la plupart des pays européens, les opérateurs comprennent ces langues.


3. Prévenir la police locale

Dans de nombreux pays européens, la présence de la police sur les lieux d’un accident est obligatoire, surtout s’il y a des blessés ou des dégâts matériels importants.
Même en cas d’accident mineur, il est conseillé de faire établir un rapport officiel.
Ce document peut s’avérer indispensable pour l’assurance une fois rentré en France.

Si la police ne peut pas venir, essayez d’obtenir un rapport écrit au poste local ou demandez au moins le numéro d’incident.
Prenez les coordonnées des agents, le lieu précis de l’accident et les références du rapport.


4. Remplir un constat amiable européen

Le constat amiable européen est reconnu dans la plupart des pays de l’Union.
Il fonctionne de la même manière qu’en France et facilite la procédure d’indemnisation.
Vous pouvez le remplir avec l’autre conducteur sur place, même si vous ne parlez pas la même langue : les rubriques sont identiques dans toutes les versions.

Soyez attentif à bien cocher les cases correspondantes et à décrire précisément les circonstances.
Ne signez le constat que si vous êtes d’accord avec son contenu. En cas de doute, notez vos réserves et prenez des photos.

Gardez toujours une copie du constat dans la voiture avant de partir en voyage à l’étranger.


5. Collecter toutes les preuves possibles

Les photos sont vos meilleures alliées.
Prenez plusieurs clichés :

  • la position des véhicules après l’impact ;

  • les plaques d’immatriculation ;

  • les dommages visibles ;

  • les panneaux de signalisation et les conditions de la route.

Notez également :

  • la date et l’heure de l’accident ;

  • le lieu exact (nom de la route, ville, coordonnées GPS si possible) ;

  • les coordonnées du ou des conducteurs impliqués ;

  • les numéros d’assurance et de police d’assurance ;

  • les contacts de témoins éventuels.

Ces informations seront précieuses pour prouver votre bonne foi en cas de désaccord ultérieur.


6. Contacter son assurance le plus rapidement possible

Prévenez votre assureur dès que possible, même si vous êtes encore à l’étranger.
Certaines compagnies disposent d’un numéro d’urgence international ou d’une assistance 24h/24.
L’assurance pourra vous indiquer les démarches à suivre, les documents à conserver et, le cas échéant, organiser un dépannage ou un rapatriement du véhicule.

Dans les 5 jours suivant l’accident (délai souvent exigé par les contrats français), vous devrez transmettre à votre assurance :

  • le constat amiable ;

  • le rapport de police (s’il existe) ;

  • les factures ou justificatifs liés à l’incident.

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En France, le prix du carburant reste l’un des sujets les plus sensibles pour les automobilistes. Pourtant, réduire la consommation ne signifie pas renoncer au plaisir de conduite ni au confort. Il existe aujourd’hui de nombreuses méthodes simples, efficaces et accessibles à tous pour optimiser chaque litre d’essence ou de diesel sans se priver du confort moderne de son véhicule.


1. Adapter son style de conduite

Le premier facteur d’économie de carburant, c’est le conducteur. Une conduite souple et anticipative permet d’économiser jusqu’à 20 % de carburant.
Il suffit d’éviter les accélérations brusques, les freinages soudains et les changements de vitesse intempestifs.
Sur route, maintenir une vitesse stable grâce au régulateur de vitesse, lorsque cela est possible, aide à garder une consommation constante.
En ville, anticiper les feux rouges et ralentir naturellement avant de s’arrêter réduit non seulement la consommation, mais aussi l’usure des freins.

La règle d’or : accélérer progressivement et freiner en douceur. Cela rend la conduite plus fluide, plus confortable et plus silencieuse — tout en allégeant la facture à la pompe.


2. Vérifier la pression des pneus

Des pneus sous-gonflés augmentent la résistance au roulement, ce qui entraîne une surconsommation pouvant atteindre 10 %.
Il est donc essentiel de vérifier la pression au moins une fois par mois, de préférence à froid.
La bonne pression assure également un meilleur confort de conduite et une plus grande sécurité sur la route, surtout sous la pluie.

De plus, choisir des pneus à faible résistance au roulement — souvent signalés par la mention “éco” — peut apporter un gain supplémentaire de 0,2 à 0,3 L/100 km sans nuire au confort.


3. Réduire le poids inutile

Chaque kilo compte. Beaucoup de conducteurs roulent avec des coffres pleins d’objets inutiles : outils, sacs, accessoires saisonniers… Tout cela augmente la masse du véhicule et donc la consommation.
En moyenne, 100 kg supplémentaires entraînent une hausse d’environ 0,4 L/100 km.

Il est donc conseillé de vider régulièrement le coffre et d’enlever les barres de toit ou les coffres de toit lorsqu’ils ne servent pas.
Ces accessoires augmentent aussi la résistance à l’air, ce qui pénalise la consommation sur autoroute.


4. Utiliser la climatisation de manière intelligente

La climatisation est un confort indispensable, surtout pendant les étés chauds du sud de la France.
Mais son utilisation excessive peut majorer la consommation de 5 à 15 %.
L’idéal est de l’utiliser avec modération : aérer le véhicule avant de démarrer, ouvrir les vitres quelques instants pour évacuer la chaleur, puis activer la climatisation sur un niveau modéré.

À vitesse élevée (au-delà de 80 km/h), il vaut mieux fermer les vitres et utiliser la ventilation, car les vitres ouvertes augmentent la résistance aérodynamique.


5. Entretenir régulièrement le véhicule

Un moteur bien entretenu consomme moins.
Les filtres à air encrassés, les bougies usées ou l’huile moteur dégradée peuvent augmenter la consommation de manière significative.
Respecter les intervalles d’entretien recommandés par le constructeur permet d’assurer une performance optimale et de prolonger la durée de vie du moteur.

Un simple contrôle du filtre à air peut suffire à économiser jusqu’à 0,3 L/100 km.
Un entretien régulier garantit aussi un fonctionnement plus doux et silencieux du moteur, améliorant ainsi le confort de conduite.


6. Choisir le bon moment pour partir

Les embouteillages sont les ennemis de la consommation. Le moteur tourne, mais la voiture n’avance pas.
Planifier ses déplacements en évitant les heures de pointe permet non seulement de gagner du temps, mais aussi d’économiser du carburant.

De plus, un trajet fluide consomme toujours moins qu’un trajet ponctué d’arrêts fréquents, même si la distance est légèrement plus longue.

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En France, le contrôle technique (souvent abrégé « CT ») est une étape incontournable pour tout propriétaire de véhicule. Il ne s’agit pas seulement d’une formalité administrative, mais d’un véritable outil de prévention pour garantir la sécurité routière et la protection de l’environnement. En 2025, les exigences deviennent encore plus strictes, notamment en ce qui concerne les émissions polluantes et la sécurité électronique des véhicules modernes.

Cet article vous explique en détail quand effectuer le contrôle technique, pourquoi il est essentiel, comment s’y préparer, et quelles sont les conséquences en cas de non-conformité.


1. Quand faut-il passer le contrôle technique ?

Le calendrier du contrôle technique dépend de l’âge et du type de véhicule.

  • Première visite : elle doit être effectuée dans les 6 mois précédant le 4e anniversaire de la première mise en circulation.

  • Visites suivantes : un contrôle technique est ensuite obligatoire tous les 2 ans.

Par exemple, une voiture mise en circulation le 1er avril 2021 devra passer son premier contrôle entre octobre 2024 et mars 2025, puis tous les deux ans (mars 2027, mars 2029, etc.).

Les véhicules utilitaires légers sont soumis à la même fréquence, mais avec une visite complémentaire annuelle de pollution.

En cas de vente du véhicule, le contrôle technique doit dater de moins de 6 mois au moment de la transaction (ou 2 mois si une contre-visite est exigée).


2. Pourquoi le contrôle technique est-il obligatoire ?

Le contrôle technique a été instauré en France en 1992, avec un double objectif : améliorer la sécurité routière et réduire la pollution.
Chaque année, il permet de détecter des millions de défaillances, souvent invisibles pour les conducteurs.

Les points de contrôle sont nombreux — plus de 130 éléments répartis dans 10 grandes catégories :

  • Freinage

  • Direction et suspension

  • Éclairage et signalisation

  • Châssis et carrosserie

  • Équipements de sécurité (airbags, ceintures, etc.)

  • Pollution et émissions

  • Pneumatiques et essieux

  • Transmission et moteur

  • Électronique de sécurité (ABS, ESP)

  • Numéro de châssis et conformité administrative

L’objectif est clair : s’assurer que le véhicule ne présente aucun risque pour le conducteur, les passagers ou les autres usagers de la route.


3. Comment se déroule le contrôle technique ?

Le contrôle est réalisé par un centre agréé par l’État.
Il dure environ 30 à 45 minutes et ne nécessite pas de démontage de pièces.
Le technicien inspecte, mesure et teste plusieurs fonctions du véhicule à l’aide d’équipements spécifiques.

À l’issue de la visite, un procès-verbal est remis au conducteur. Il peut contenir :

  • Aucune défaillance majeure : le véhicule est conforme, vous pouvez circuler jusqu’à la prochaine échéance.

  • Des défaillances mineures : elles n’imposent pas de contre-visite, mais doivent être réparées rapidement.

  • Des défaillances majeures ou critiques : une contre-visite sous 2 mois est obligatoire. Dans le cas d’une défaillance critique (freinage défectueux, pneus lisses, fuite de carburant, etc.), la circulation est interdite dès le lendemain du contrôle.


4. Les nouveautés 2025 : plus de rigueur et de technologie

À partir de 2025, plusieurs ajustements sont prévus dans le cadre européen du contrôle technique :

  • Renforcement des tests antipollution : les seuils d’émission de particules fines et d’oxyde d’azote sont abaissés, notamment pour les moteurs diesel.

  • Contrôle des systèmes électroniques d’aide à la conduite (ADAS) : freinage automatique, avertisseur de franchissement de ligne, détection d’obstacles.

  • Numérisation des certificats : les procès-verbaux seront intégrés directement dans le système d’immatriculation pour limiter la fraude.

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Avec l’arrivée de l’hiver, les routes françaises se transforment : températures basses, verglas, pluie, brouillard et parfois neige rendent la conduite plus exigeante. Pour éviter les pannes, les accidents ou les désagréments liés au froid, il est essentiel de préparer soigneusement son véhicule avant la saison hivernale. Que vous circuliez dans les régions montagneuses ou simplement dans les zones urbaines, une voiture bien entretenue garantit sécurité, confort et tranquillité d’esprit.

Voici un guide détaillé pour bien préparer votre voiture à affronter l’hiver 2025 en France.


1. Vérifier l’état des pneus

Les pneus sont la première ligne de sécurité sur la route. En hiver, ils doivent offrir une excellente adhérence, même sur chaussée glissante.

  • Vérifiez la profondeur des rainures : elle doit être d’au moins 3 mm pour un bon drainage de l’eau et une meilleure traction.

  • Optez pour des pneus hiver ou toutes saisons : depuis la loi Montagne II, certains départements français imposent l’utilisation de pneus adaptés entre novembre et mars. Ces pneus contiennent un caoutchouc plus souple, qui reste efficace même à basse température.

  • Contrôlez la pression : le froid réduit la pression de l’air, ce qui peut altérer la stabilité et augmenter la consommation de carburant.

Pensez aussi à emporter des chaînes ou chaussettes à neige, surtout si vous prévoyez de circuler dans les Alpes, le Jura ou les Pyrénées.


2. Tester la batterie

Le froid est l’ennemi numéro un des batteries. Une batterie affaiblie peut lâcher sans prévenir.

  • Faites vérifier sa tension et sa capacité avant l’hiver, surtout si elle a plus de 3 ans.

  • Nettoyez les bornes et vérifiez qu’il n’y a pas de corrosion.

  • Démarrez votre voiture régulièrement, même si vous ne roulez pas souvent : cela évite la décharge complète.

En cas de doute, mieux vaut remplacer la batterie avant l’hiver que de se retrouver bloqué un matin glacial.


3. Vérifier les liquides essentiels

Un entretien rigoureux des fluides du véhicule est primordial pour assurer son bon fonctionnement par temps froid :

  • Liquide de refroidissement : il doit contenir suffisamment d’antigel pour résister à des températures jusqu’à -25 °C. Vérifiez le niveau et remplacez-le si nécessaire.

  • Liquide lave-glace hiver : remplacez le produit standard par une version antigel. Cela évite le gel dans les buses et assure une bonne visibilité.

  • Huile moteur : certaines huiles deviennent trop visqueuses à basse température. Utilisez une huile adaptée aux conditions hivernales, comme une 5W30 ou 0W40, selon les recommandations du constructeur.


4. Examiner le système de chauffage et de dégivrage

Un habitacle bien chauffé, des vitres dégivrées et une bonne ventilation sont indispensables en hiver.

  • Testez le chauffage avant les grands froids pour vous assurer que l’air chaud circule correctement.

  • Contrôlez le désembuage et le dégivrage des vitres avant et arrière.

  • Nettoyez les conduits d’aération afin d’éviter l’accumulation d’humidité dans la voiture.

Si vous remarquez une mauvaise diffusion de la chaleur, il peut s’agir d’un problème de thermostat ou de liquide de refroidissement.


5. Contrôler l’éclairage

Les journées sont plus courtes, la visibilité souvent réduite — vos feux deviennent vos meilleurs alliés.

  • Vérifiez tous les phares : feux de croisement, de route, antibrouillards, clignotants et feux de recul.

  • Nettoyez les optiques pour éviter la perte de puissance lumineuse.

  • Remplacez les ampoules faibles avant qu’elles ne grillent.

Avoir un kit d’ampoules de rechange dans le coffre est une excellente précaution, surtout pour les longs trajets hivernaux.


6. Soigner les essuie-glaces et le pare-brise

Une bonne visibilité est essentielle pour une conduite sécurisée.

  • Changez les balais d’essuie-glace si leur caoutchouc est usé ou craquelé.

  • Nettoyez le pare-brise intérieur et extérieur : la condensation et la saleté amplifient les reflets du soleil bas d’hiver.

  • Ne jamais activer les essuie-glaces sur un pare-brise gelé, cela pourrait endommager le moteur du système.

Pour éviter le gel, couvrez le pare-brise la nuit ou utilisez un dégivrant adapté.

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